LA PREMIERE ECOLE PUBLIQUE CONGOLAISE DE STANDING INTERNATIONAL AU LUALABA

Si vous n’avez jamais entendu parler de l’égalité des chances, il serait bon d’aller dans la ville de Kolwezi, capitale de la province du Lualaba. Ce que les écoles privées offrent à prix d’or à la progéniture des nantis, le gouverneur Muyej Mangez Mans l’a mit pour presque rien, à a portée des enfants que la nature n’a pas vraiment favorisée. Nouvelles Technologies de l’information, terrain de sport, piscine, environnement sain, enseignement de qualité, tout ce qui fait la puissance et la beauté des écoles occidentales, se retrouvent en un seul lieu, pour le bénéfice des enfants de tous les horizons. Ainsi l’enfant du PDG et de l’ouvrier peuvent s’assoir cote a cote pour recevoir les atouts du monde moderne Bienvenu à l’athénée Hewa Bora de Kolwezi. 
Depuis la salle de contrôle, les surveillants peuvent voir tout ce qui passe partout dans l’école. Sur un moniteur relié à des cameras de surveillance, montrent le terrain de football en pelouse naturelle, sur un autre le terrain de basket couvert, ou l’on peut jouer en toute saison .Juste à coté, juste à coté se trouvent une belle piscine. Dans les salles de classes et partout, de discrets diffuseurs sont disposés pou faire passer des messages aux élèves .Ils peuvent ainsi suivre des annonces sur le lavage des mains ou sur la sécurité. Comme on le sait, dans une cour de récré, des petits bobos ne manquent pas. Pour parer à toute éventualité, l’école dispose d’un dispensaire de premier secours avec un corps médical ayant à sa tète d’un médecin permanent. Cette structure médicale dispose d’une ambulance. Ce corps médical peut ainsi intervenir dans toute école de Kolwezi, qu’elle soit publique et privée. 
Pour les nouvelles technologies de l’information, une salle informatique équipée du matériel dernier cri. Une première en RDC, l’athénée Hewa Bora à une salle de musique ou les jeunes élèves pourront améliorés leurs talents.les salles de classes suivent la tendance dans les grandes écoles du monde. On peut voir des tableaux à l’avant et à l’arrière. Pour garantir un niveau d’enseignement viable et de haut niveau, les enseignants qui y prestent, suivent des recyclages réguliers. Ceux qui ne suivent pas le rythme, ne pourront pas y rester bien longtemps. Les élèves eux-mêmes sont poussés en avant pas des messages d’encouragement, disposés dans les couloirs.ces messages sont en français et en anglais. Le bilinguisme étant aujourd’hui une des clés de la réussite. L’une des faiblesses en Afrique, c’est la maintenance. Le gouverneur de la province du Lualaba tient à faire mentir la boutade qui dit « puisqu’il y a pas un mot africain pour dire maintenance, alors tout ce que les noirs construisent finira par disparaitre ». L’entretient de ce bâtiment, se fera sur base d’une ligne de crédit alimentée par une taxe spéciale payée par les entre prises locales. Ce système permet que les parents ne supporteront aucune charge supplémentaire. Les frais scolaires resteront au niveau fixé par l’état ongolais. C’est direz que cette école hors du commun est à la portée de toutes les bourses. C’est donc ici que le mot égalité des chances prend tout son sens.si cette école appartenait à un privé, le cout de minerval mensuel ne serait pas en dessous de 250 dollars le mois, voir plus. Ainsi donc, sans crever outre mesure leur bourse, les gagnes petits pourront envoyer leurs enfants dans une école qui les arment pour affronter le monde d’aujourd‘hui ou la science est en pleine évolution. Le souci du Gouverneur Muyej ne concerne pas seulement le niveau intellectuel des élèves .Il pense aussi à l’adage qui dit, « un corps sain dans un esprit sain ».La gymnastique aura une place prépondérante à l’athénée Hewa Bora. Les enfants qui étudient dans cette école, sont aussi sensibilisés sur l’environnement et le respect de la nature. Raison pour laquelle, la verdure est présente partout. Les élèves pourront ainsi acquérir de bonnes habitudes en relation avec la conservation tant de la faune que de la flore. Les élèves de l’athénée de Kolwezi sont ainsi entrés de plein pied dans un monde moderne qu’ils voyaient à la télévision pour ceux qui en dispose dans leur maison. Pour ces enfants, le rêve est devenu une réalité. Muyej Mangez Mans qui lui-même été enseignant dans cette ville de Kolwezi, se souvient certainement de la rigueur d’antant .Il a donc à cœur de faire revivre ce passé glorieux d’un enseignement dans l’ex province du Katanga qui avait toujours affiché des résultats élogieux. Le gouverneur du Lualaba qui a vu son entité, affiché le meilleur score aux examens d’état exercice 2017, voudrais certainement garder ce flambeau le plus longtemps possible.